En 2011, une ancienne collaboratrice du studio nommée Emma Coats partage sur Internet une liste de 22 règles essentielles pour raconter une histoire à la Pixar. Cette liste est vite devenue très connue, aussi on vous propose d’aller plus loin dans cet article en parlant d’un élément qui ne s’y retrouve pas : la règle de trois.
Pour comprendre ce précepte d’écriture qui est extrêmement répandu aujourd’hui dans l’écriture hollywoodienne, on va prendre comme exemple l’un des tous meilleurs films produits par le studio Pixar : le Monstres & Cie de Pete Docter, sorti en 2001.
Terrifier plus pour gagner plus.
Un, deux, trois, scénar !
Ce qu’on appelle communément « la règle de trois » en écriture est un principe d’une logique implacable : les rythmes ternaires sont à la fois efficaces, intrigants et satisfaisants. On apprécie par exemple qu’une histoire ait un début, un milieu puis une fin. Dis comme ça cela peut paraître stupide ou très basique, mais c’est ce principe dramaturgique qui différencie un récit réussi d’un gloubi-boulga impossible à suivre.
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Belle application du principe en effet.
Je pardonnerais le titre putaclic des ‘maths’ pour la peine : P
Super article !
Qu’est-ce qui me saute à l’esprit quand je pense à ce film ?
Le sourire qui le clôt !
Les maths, ça m’émeut !
Bah bravo, maintenant, je veux savoir les 22 règles à respecter pour un scenario Pixar!