Jurassic World 4 alias Renaissance continue à accélérer sa promotion avec de nouvelles images et la promesse d’un retour de l’angoisse dans la saga.
Si le monde était cruel pour les fans de blockbusters, il leur demanderait de faire un choix cornélien pour ce mois de juillet 2025 : choisir un seul film à regarder entre les mastodontes Superman, Les 4 Fantastiques : Premiers pas et Jurassic World : Renaissance. Bien heureusement, ce genre de dilemme n’existe pas, mais quitte à n’en garder qu’un, il est absolument indiscutable que l’auteur de ces lignes se serait arrêté sur le retour des dinosaures sur le grand écran.
Il faut dire que ce Jurassic World 4 est plein de promesses avec la présence de La bande-annonce de Jurassic World 4 a fait grimper l’engouement et ce ne sont pas les quelques nouveaux détails qui vont faire descendre notre attente.

JURASSIC PEUR
Dans son numéro du mois de mai, le magazine Empire met en avant Jurassic World : Renaissance. Ainsi, le média a dévoilé de nouvelles images du paléontologue Dr Henry Loomis (Jonathan Bailey) souriant dans un probable musée, mais aussi de Zora Bennett, l’experte en opérations secrètes interprétée par Scarlett Johansson. Et de son côté, elle semble bien plus sur ses gardes, pistolet à la main, probablement inquiétée par un dinosaure. Une scène qui promet un retour à une ambiance plus angoissante, comme elle l’a explicité à Empire :
« Cela rappelle le premier Jurassic Park. Il y a beaucoup de gros jumpscares et les enjeux sont élevés. »
Une atmosphère plus proche du film culte de Steven Spielberg dans un récit lui rendant également hommage à sa manière, selon Jonathan Bailey :
« C’est une véritable lettre d’amour [au film original de 1993]. On sent vraiment qu’il invite le public à célébrer le film original. Il dégage à la fois de l’émerveillement et de l’iration, sans pour autant hésiter à réinjecter du frisson et de la peur. »


Difficile de ne pas être intrigué par ce retour aux sources avec, d’un côté, l’enchantement de cette renaissance des dinosaures, et de l’autre, une plongée plus frontale vers l’angoisse, voire l’horreur. C’est en tout cas en totale adéquation avec ce que David Koepp a lui-même dit à Empire :
« Nous voulions retrouver l’idée que nous sommes dans l’environnement des dinosaures. Les derniers films exploraient la question : « À quoi cela ressemblerait-il s’ils étaient dans notre environnement ? » Ils l’ont très bien fait, et maintenant nous voulions explorer ce que cela faisait de retourner dans le leur. »
Le trailer l’avait bien montré avec des explorations dans la jungle, une sorte d’embuscade maritime, un dinosaure mutant ou encore la fameuse scène du rafting, les dinosaures seront pleinement chez eux et l’équipe de Scarlett Johansson ne sera pas franchement la bienvenue. Autant dire que leur « braquage » risque d’être sacrément périlleux. Pour s’en assurer, il faudra attendre le 4 juillet 2025 au cinéma.
Non, ils ont survolé ça en 30 secondes à la fin de Fallen Kingdom et sur 10 minutes dans Dominion. le seul à avoir un peu essayé de cre la question : c’est le court métrage Battle at Big Rock.
Tellement hâte, tellement envie d’y croire!
Dire que le Jurassic Park de 93 faisait peur, c’est quand même un peu gros. On est pas dans un film d’épouvante. Mais Spielberg a créé une tension géniale, surtout pour la scène du T-rex devant la clôture et des raptors dans la cuisine. A part ça la saga n’a jamais fait peur, contrairement au roman d’origine bien plus inquiétant, avec des dinosaures qui représente une menace diffuse, presque invisible, comme des grands prédateurs. Ils représentent le châtiment des humains qui ont voulu jouer les Prométhée.
Même si on se doute que Jurassic Park 7 ne sera pas du niveau du roman, un retour vers le pur cinéma d’aventures spielbergien est le bon choix.