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Star Wars : l’un des films préférés de Steven Spielberg est un des plus controversés et voilà pourquoi

Par Jacques Laurent Techer
17 décembre 2024
© Canva Disney Lucasfilms

L’un des films les plus controversés de la saga Steven Spielberg.

Près de 50 ans après la sortie de miser sur Rey Palpatine-Skywalker avec l’annonce d’une nouvelle trilogie, et on se demande bien pourquoi.

Dans cette galaxie pas très lointaine tiraillée entre rénovation et surexploitation, Skeleton Crew a choisi d’emprunter au style narratif d’Amblin et de Steven Spielberg pour apporter un souffle nouveau à Star Wars. Justement, Spielberg lui-même s’est exprimé sur ses films Star Wars préférés, et il a adoubé l’un des volets les plus controversés de la saga.

Le Père, le Fils, le Pas Saint d’Esprit

Le top 2 de Star Wars selon Spielberg

Les journalistes de SlashFilm ont déterré une interview que le réalisateur d’E.T. avait accordée à Cinescape en 2002. Au cours de cet entretien, Steven Spielberg a expliqué que son film favori de la licence Star Wars est l’épisode 5 : l’Empire contre-attaque, et que juste après celui-ci se trouvait l’épisode 2 : L’attaque des Clones.

« Star Wars : Episode II – L’Attaque des clones est mon deuxième préféré, juste derrière L’Empire contre-attaque. C’était génial. Les scènes d’action donnaient l’impression que George [Lucas] avait été inspiré par James Cameron parce qu’elles étaient aussi bonnes que n’importe quelle scène d’action de Terminator 2 : Le Jugement Dernier, et je pense que George a également réalisé sa mise en scène la plus aboutie dans ce film. »

Le nombre exact de fans de l’épisode 2

Ready Jedi One

Quelques années plus tard, en 2012, au micro de Roger Ebert, le réalisateur avait déclaré que c’était toujours l’un de ses films Star Wars favoris, et que George Lucas avait atteint le sommet de sa mise en scène avec cette production. Mais il a aussi expliqué que l’approche 100% numérique du cinéma de Lucas ne l’intéressait pas.

« L’attaque des clones est [son film] le plus abouti en tant que réalisateur. J’ai trouvé que c’était un opéra, le film le plus accompli de George. Mais je ne pense pas que j’utiliserai un jour des décors générés par ordinateur comme il le fait. Je pense que lorsque vous construisez un décor en 3D et que les acteurs entrent dans ce décor, ils sont stimulés. Ils ont des idées […] Je suis triste pour le jour où les décors existeront dans le cyberespace et non dans la vie réelle. »

On préfère le Yoda marionnette

Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, puisque Spielberg a conçu Ready Player One, avec son déluge d’effets numériques et de modèles 3D. Il est plus que probable que l’amitié qui lie Steven Spielberg et George Lucas affecte le discours du réalisateur des Dents de la mer, et son rapport à la saga Star Wars. On aimerait beaucoup avoir son avis sur la postlogie, juste par curiosité.

Outre la diffusion actuelle de Skeleton Crew, l’avenir de la franchise Star Wars se jouera sur petit écran avec la saison 2 d’Andor qui sortira le 22 avril 2025 sur Disney+, et sur grand écran avec The Mandalorian & Grogu, qui arrivera le 20 mai 2026. Quant aux épisodes 10, 11 et 12 de Star Wars, produits et scénarisés par Simon Kinberg, ils n’ont aucune fenêtre de sortie pour le moment.

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natalieportmanfan
natalieportmanfan
il y a 5 mois

Star Wars épisode 2 L’Attaque des Clones est l’un des meilleurs films de la saga Star Wars, un superbe film extrêmement riche et ionnant, un film génial, magnifique, important et tellement sous-estimé alors qu’il est d’une richesse folle, exploitant l’univers de Star Wars, toutes les possibilités infinies de cet univers magnifique, et c’est également un film important dans l’évolution du cinéma numérique, étant le tout premier film de blockbuster intégralement tourné, post-produit et diffusé en numérique.
Énormément de scènes emblématiques : les attentats contre la sénatrice Amidala, introduisant parfaitement l’escalade des tensions politiques qui mèneront à la guerre des clones (George Lucas montrant ici une lucidité impressionnante sur la montée des régimes autoritaires et l’instrumentalisation de la peur pour justifier des mesures extrêmes, une réflexion parallèle sur le climat post-11 septembre et les guerres qui en ont découlé), les chasseurs de primes, l’ambiance magnifique sur Coruscant avec le restaurant, la boîte de nuit, une ambiance cyberpunk très originale que l’on n’avait jamais vue avant, qui donne un esprit polar et d’enquête très prenant au film (en particulier la poursuite en speeders qui introduit la vie nocturne sur Coruscant, rarement explorée dans Star Wars). La poursuite en speeders au-dessus de Coruscant avec Zam la chasseuse de primes, la traque des chasseurs de primes, l’une des scènes les plus emblématiques, et l’enquête d’Obi-Wan qui le mène à Kamino, la découverte de l’armée des clones afin d’asseoir le plan de Palpatine, servant à manipuler la République vers une guerre qu’il contrôle dans l’ombre (Palpatine utilise l’armée comme un outil pour garantir sa montée au pouvoir, jouant sur les peurs de la République pour initier une guerre qui, en fin de compte, mènera à la chute des Jedi et à la transformation de la République en Empire.).
Et la musique lors de la formation des troupes de clones. L’ambiance cyberpunk de Coruscant avec le night club, le restaurant de Dex, ce qui rend l’univers plus riche, plus vivant et plus diversifié (montrant la profondeur culturelle de Coruscant, entre les quartiers élitistes de la République et les bas-fonds grouillants d’activités criminelles). La superbe musique Across the Stars pour l’amour maudit, une histoire d’amour tragique qui est destinée à mal se terminer (la relation entre Anakin et Pé, au-delà du cadre politique, s’inscrit dans une fatalité quasi mythologique, où leur amour interdit provoquera leur chute à tous les deux), une magnifique histoire qui forme une grande tragédie shakespearienne, dans la lignée de l’histoire de Roméo et Juliette, l’amour interdit destiné à se heurter au destin tragique (leur amour précipite Anakin dans la peur et la colère, des sentiments qui le mèneront à trahir ceux qu’il aime).
Ewan McGregor, Natalie Portman et Christopher Lee sont toujours parfaits dans leurs rôles et toujours emblématiques sur leurs personnages, leur donnant toujours force, prestance, du charme, du charisme, une forte présence à l’écran et une complexité, on n’imagine personne d’autre pour incarner ces personnages extraordinaires de Star Wars et iconiques de l’histoire du cinéma. La grande armée des clones de la République, l’introduction aux clones troopers, d’une richesse inestimable à l’univers et au lore de Star Wars (une réflexion sur la manipulation politique et la moralité des conflits orchestrés, qui fait écho à l’implication des gouvernements dans les guerres civiles ou les interventions militaires pour des intérêts cachés). Naboo est une planète extraordinaire, l’une des meilleures planètes de la saga avec Coruscant, l’ambiance paradisiaque avec les jardins, la photographie magnifique et solaire (Naboo, avec sa beauté tranquille, devient un refuge temporaire pour Anakin et Pé, contrastant fortement avec les conflits à venir et la guerre).
L’histoire romantique et policière mêlée à l’action et à l’aventure, les hommages aux serials (Flash Gordon et les films d’aventure des années 30), aux péplums (les combats dans l’arène sur Geonosis évoquent les gladiateurs romains).et même aux films policiers (l’enquête d’Obi-Wan sur Kamino), ce qui fait de ce film l’un des films les plus complets de toute la saga Star Wars. Tout dans ce film est ionnant du début à la fin, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le combat contre Jango Fett, les charges sismiques dans le champ d’astéroïdes, spectaculaire, du pur génie dans une saga où il y a du son dans l’espace (en coupant le son juste avant l’explosion). Jango Fett, l’un des méchants les plus emblématiques de la saga, et évidemment le comte Dooku, les antagonistes emblématiques de cet épisode (Jango comme chasseur de primes et père de Boba incarne l’aspect plus brut et pragmatique des conflits tandis que Dooku représente la noblesse corrompue et l’intrigue politique).
L’introduction des séparatistes, mettant en place la future guerre des clones, le conflit en cours contre la République, les débuts de la guerre, la meilleure période, la plus ionnante et importante de toute la saga Star Wars (l’apogée de la saga), les tensions politiques qui commencent à s’installer dans les deux camps, aussi bien dans celui de la République que dans celui des séparatistes, ce qui rajoute au fait que l’histoire est moins manichéenne (George Lucas, très conscient des réalités géopolitiques, montre à travers les séparatistes comment des révoltes peuvent être alimentées par des ressentiments légitimes, mais aussi manipulées par des élites pour servir leurs propres agendas, une critique des tensions modernes entre des pouvoirs en place et des mouvements indépendantistes ou sécessionnistes).
Le film présente également les premiers pas d’Anakin vers le côté obscur de la Force, la mort de Shmi Skywalker, une étape importante dans l’évolution du personnage, qui le fera changer en Darth Vader (cette perte déclenche en lui une haine et une douleur incontrôlées, en illustrant sa difficulté à maîtriser ses émotions), le massacre du village de Tuskens qui l’amène au côté obscur de la Force (c’est le premier acte tangible de basculement vers le mal, où Anakin cède à sa colère), il sera tourmenté par la peur de perdre Pé comme il a perdu sa mère.
Le world building est incroyable, stratosphérique, une expansion extraordinaire, une plus grande ouverture sur le monde, une ouverture inégalée de l’univers de Star Wars, on explore chaque recoin de la galaxie, et l’avancée technologique afin de créer des mondes nouveaux (comme Kamino et Geonosis), des nouveaux world building, des nouveaux peuples (les Kaminoans ou les Geonosiens), des nouvelles technologies et des nouvelles civilisations.
Le retour d’Anakin sur sa planète natale est une étape importante, servant à explorer ses racines et ses douleurs ées (ce retour sur Tatooine souligne son é de servitude et les pertes tragiques qu’il a vécues là-bas), renforçant son attachement émotionnel qui sera crucial dans sa chute.
Obi-Wan Kenobi, Anakin Skywalker, Pé Amidala et Mace Windu sont des incroyables personnages emblématiques et parfaits dans la saga Star Wars, des magnifiques personnages mythiques, très charismatiques et très attachants. Les meilleurs personnages.
La bataille de Geonosis, une grande bataille mémorable dans ce film, qui lance les prémices de la guerre des clones, à introduire l’implication des Jedi dans le conflit (la guerre est désormais inévitable et les Jedi, pris au piège par Palpatine, sont obligés de mener les troupes), les combats dans l’arène, Pé et Mace Windu tellement forts et badass, les combats avec les Jedi, Yoda qui arrive au dernier moment pour sauver tout le monde, et les débuts de la guerre. La poursuite et l’affrontement contre le comte Dooku, Obi-Wan et Anakin, puis l’arrivée de Yoda, ainsi que le mariage secret sur Naboo qui pose parfaitement les bases du tragique destin d’Anakin, donnant une fin à moins heureuse, car d’un côté l’amour s’accomplit mais de l’autre les ombres de la chute d’Anakin planent déjà.
Tout est superbe et ionnant.
Yoda est fort et badass, il défonce, il sauve les héros, Pé est incroyable, forte, badass, courageuse et belle, drôle et élégante, elle dégage une plus grande féminité, elle est drôle, attachante, avec une plus grande classe, toujours aussi belle, tout en étant une vraie femme badass et courageuse qui défend sa liberté.
L’histoire d’Anakin Skywalker est l’une des plus belles histoires de tous les temps, une magnifique histoire tragique, inspirée des plus grands mythes de la tragédie grecque tels que celle d’Icare (Anakin cherche à atteindre des sommets interdits en tentant de défier la mort et la souf mais cette ambition le conduit à sa chute), l’histoire de Jésus-Christ avec ses tentations et son destin prophétique (Anakin est perçu comme l’élu destiné à rétablir l’équilibre dans la Force mais il doit traverser des épreuves et des tentations qui le rapprochent du mal), et même l’histoire d’Œdipe en montrant comment ses choix mènent à sa propre destruction (Anakin devient l’instrument de sa propre ruine en prenant des décisions guidées par la peur et la colère et finit par détruire ceux qu’il aime le plus). Cette complexité psychologique enrichit l’évolution du personnage, rendant sa chute d’autant plus poignante.
Le lore est extraordinaire, extrêmement riche, gigantesque, aux possibilités infinies, très détaillé et fourni : l’ordre Jedi, la guerre des clones, les Sith, l’évolution politique, la construction de l’Empire (la montée en puissance de Palpatine, orchestrée en coulisses depuis le début, représente l’ascension d’un régime dictatorial sous couvert de sécurité et de paix, une critique directe des systèmes politiques qui, sous prétexte de protéger, rognent sur les libertés individuelles, un commentaire qui peut être vu comme une réflexion sur la montée du Patriot Act et des mesures sécuritaires dans le monde réel après les attentats de 2001), la République qui voit ici ses fondations s’effondrer (les institutions républicaines se délabrent progressivement sous les machinations de Palpatine, symbolisant la déliquescence des valeurs démocratiques et la manipulation des masses par la peur), les manipulations de Palpatine afin de faire tomber la République et anéantir les Jedi (Palpatine tire habilement les ficelles pour diviser la République et les séparatistes tout en affaiblissant l’ordre Jedi de l’intérieur). Le nombre de peuples, de world building et de civilisations très fournis, un vrai univers étendu, gigantesque, extrêmement riche, aux possibilités infinies, qui fait voyager, que l’on a envie d’explorer (de Kamino à Geonosis, chaque planète explore un aspect différent de la galaxie, mettant en lumière la diversité culturelle et technologique qui fait la richesse de cet univers).
Tout est ionnant dans la prélogie Star Wars qui est la meilleure trilogie de Star Wars, la plus riche, la plus complète, la plus ionnante, la plus travaillée et la plus fournie en lore, en diversité, en background, en développement, en world building et en contenu (la prélogie posant les bases de tout ce qui suivra dans l’univers Star Wars). Elle représente véritablement la vision du monde de Star Wars tel que George Lucas l’a toujours voulu. Ainsi que l’avancée du cinéma numérique, la création de caméras numériques haute définition et l’avancée des effets spéciaux numériques afin de créer des mondes nouveaux, des nouvelles technologies, des nouveaux environnements et des nouveaux peuples, bien avant Avatar de James Cameron.
George Lucas a repoussé les limites de la technologie numérique au service de la construction du monde de Star Wars tout en intégrant une réflexion politique profonde qui, à travers la guerre des clones et la montée des tensions entre la République et les séparatistes, résonne avec les événements géopolitiques réels de notre monde réel (la critique des guerres préventives et des manipulations politiques rappellant les événements du début des années 2000, notamment les conflits au Moyen-Orient et les stratégies de propagande gouvernementale pour justifier des interventions militaires).

Sprig
Sprig
il y a 5 mois

cool qu’un des réalisateurs que j’adore aime les mêmes choses que moi. Maintenant ce n’est pas parce qu’il a réussi des œuvres cultes que ses impressions font foi. J’aime b l’épisode 2 et j’ai d’ailleurs complètement refoulé l’histoire d’amour entre Pée et Anakin qui est un des sujets du film mais par forcément le point central (depuis quand Lucas est -il réputé pour des histoires d’amour ? pour ma part je dirai. Oui Anakin aimait sa femme et il n’a pu empêcher sa mort mais b de réalisateurs ont su mettre en avant ce genre de conflit sans tomber dans la romance telenovala intergalactique.). Après pour ceux qui parlent de Ready Player one je n’en comprends pas le rapport. Là il confronte juste la rencontre entre réel et virtuel. RPO c’etait soit réel soit virtuel mais il n’y avait pas de mélange si je me souviens bien. Bref un avis comme un autre qui ne sert à rien sinon que de donner mon avis sur ce qui vient d’être dit à savoir « ouai et alors ? ».

Vincent Terranova
Vincent Terranova
il y a 5 mois

Brillant sur le thème principal en nous dévoilant comment le fascisme parvient à prendre le pouvoir en noyautant le régime en place pendant des décennies. Très révélateur de ce que les républicains viennent de mettre en place avec la nouvelle élection de Trump.
Sur le rythme et les enjeux, le film reste un gloubi-goulba où la narration peu fluide et bancale en devient fatalement indigeste.

Eomerkor
Eomerkor
il y a 5 mois

En 2002 Spielberg l’entousiaste préférait l’épisode 2 après l’Empire contre Attaque. En 2012 ce n’est plus le n°2 dans son ordre de préférence et il critique le 100% fond vert.
L’attaque des clones est un épisode sympatique mais qui n’apporte pas grand chose au thème principale de la prélogie, à savoir la déchéance d’Anakin et son age vers le côté obscur. Lucas mise tout sur l’action et foire ses scènes intimistes au point de les rendre quasi-comiques. Il aurait du inclure plus de scène sur le doute et la colère d’Anakin au lieu de rallonger certaines scènes d’action (la fonderie-usine à droid et son faux supens). Sur le plan technique certaines scènes ressemblent à des cinématiques de jeu vidéo et le numérique des années 2000 a affreusement vieilli.
Pour ma part je trouve que la plus la grosse erreur de Lucas est d’avoir « imposer » à des acteurs débutants ou quasi débutants de jouer sur des fonds verts. Lucas n’est pas bon pour diriger les acteurs et ça se ressent à l’écran. Mark Hamill et Carrie Fisher avaient au moins droit à du carton-pâte et des figurants avec casques en plastique pour se représenter l’univers dans lequel ils évoluaient. Et puis c’était aussi un casting plus avisé… Après si Spielberg aime cet épisode plus que l’épisode 4 ou l’épisode 3 c’est son droit.

Berlingo
Berlingo
il y a 5 mois

Spielberg parle d’un strict point de vue de mise en scène, mais il oublie de parler du scénario pompeux et des dialogues plats de l’épisode 2. Et puis Dooku-Christopher Lee en scooter volant… 😀
Même si il aime en partie la postlogie il ne le criera pas sur les toits, il ne voudra pas vexer son ami Lucas… qui lui n’a pas aimé la postlogie!

Pseudo1
Pseudo1
il y a 5 mois

La comparaison avec Ready Player One me parait un brin foireuse puisque les scènes full numériques concernent principalement celles dans le monde virtuel (Oasis) et sont assumées comme tel tant techniquement que narrativement, avec autant les décors que les acteurs en CGI. C’est davantage proche d’un film d’animation, couplé à un film live pour les scènes dans le monde réel.
.
Pour que la comparaison soit valable, il faudrait un film où il a enregistré les acteurs (en costumes comme dans SW, pas en performance capture comme dans Tintin ou RPO j’entends) uniquement devant des fonds verts durant tout le tournage ou presque. Et en effet, chez Spielberg, j’en vois finalement assez peu. On sent que ce n’est pas son délire, et c’est tant mieux !
.
PS: et pour moi, l’Attaque des Clones est vraiment un ratage, le pire SW parmi les 6 (non, il n’y en a pas 9, vous avez rêvé ^^ )

dutch
dutch
il y a 5 mois

Drôle de choix, l’histoire d’amour cul cul la praline…et la comparaison avec T2.