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Après le succès du premier King se sont mises en route un peu partout, au point qu’on se retrouve à en parler tous les deux jours.
Depuis, la déconvenue critique et économique (472 millions dans le monde, un score honorable, mais loin des performances de son prédécesseur) de Ça : Chapitre 2 ont un peu refroidi les ardeurs, mais le mal est fait.
Le roi du fantastique reste incontestablement l’auteur le plus adapté de tous les temps, avec côté cinéma disponible ici.
Une nouvelle vague d’adaptations lancée par un clown goulu
Cette dernière a à peine terminé sa saison 2 en cette fin d’année qu’on entend déjà parler d’une autre grosse adaptation, cette fois-ci dirigée par Epix. Epix est une chaîne de télévision américaine qui s’est lancée dans la production de contenu original en 2016. Depuis, elle a par exemple été à l’origine de Pennyworth, évoquant le célèbre complice de Batman. Cette fois, elle s’attaque à une nouvelle de l’auteur de Shining : Jerusalem’s lot, ou Celui qui garde le ver en VF. C’est Deadline qui rapporte l’information.
Pour ces 10 épisodes, la chaîne a mis les petits plats dans les grands, puisqu’elle a recruté le plus jeune comédien à avoir reçu l’Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans Predators (eh oui) incarnera le capitaine Charles Boone, qui s’installe avec un domestique dans un manoir prétendu maudit, pas loin du village de Jerusalem’s lot. L’histoire se e dans les années 1850 et devrait entrer en production en mai 2020, pour être diffusée à l’automne de la même année.
Robert Rodriguez, une sacrée performance
À la production, on retrouve Michael Wright, à la tête de Epix, s’est dit très excité de participer à ce nouveau projet.
« Cette série est une réimagination intense et absolument terrifiante de l’horreur classique gothique. On a hâte de travailler avec l’équipe exceptionnelle formée par Stephen King. »
Il nous promet une véritable série d’horreur, avec des références assez intrigantes. Il faudra donc attendre presque un an avant de découvrir cette version. Rassurons-nous : il est difficile de tomber à cours de fictions du King propres à l’adaptation. Le bougre est un stakhanoviste qui ne peut vivre sans écrire et qui continue à sortir très régulièrement des pavés spectaculaires. En plus d’un laboratoire à idée fascinant, son oeuvre est aussi un filon quasi inépuisable.
Salem version 2004
